CePiCOP - 22.04.2025 - Colza d'hiver: floraison et pollinisation - Suivi escourgeon/froment - Observation en blé dur - Epeautre: 2e fraction et raccourcisseur

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colza d'hiver

Stade : Pleine floraison
Insecte ravageur : Continuez à surveiller le charançon des siliques pendant la floraison.
Insectes pollinisateurs : Les abeilles et autres pollinisateurs profitent des éclaircies pour butiner le colza. 

escourgeon

Stade : La majorité des parcelles est au stade dernière feuille pointante (BBCH 37) ou étalée (BBCH 39). On voit déjà quelques gaines gonflées et des barbes apparaitre dans les champs.
Maladies : La pression maladie étant très faible cette année, un traitement unique suffit. Il peut être appliqué dès que vos escourgeons ont atteint le stade BBCH 39, afin d'assurer leur protection jusqu'à la fin de la saison.
Fertilisation : La dernière fraction azotée pour les escourgeons peut être appliquée au stade dernière feuille étalée (BBCH39), de préférence sous forme solide afin d'éviter les brulures sur les dernières feuilles.
Régulateur : Attendre les bonnes conditions d'application (temps poussant, >12°C) pour appliquer le traitement régulateur au stade dernière feuille étalée (BBCH 39). Si nécessaire, le régulateur pourra être mélangé avec le fongicide appliqué à ce stade. 

froment

Stade : Les parcelles se situent majoritairement entre le stade premier noeud (BBCH 31) et deuxième noeud (BBCH 32).
Maladies : Les parcelles sont majoritairement saines. Surveillez les parcelles emblavées avec des variétés sensibles aux rouilles. Certains symptômes observés dans les parcelles sont physiologiques. 

blé dur

Stade : Entre 1ier noeud (BBCH 31) et 2ième noeud (BBCH 32). Les variétés les plus précoces semées au mois d'octobre approchent du stade dernière feuille pointante (BBCH 37)
Régulateur : Si cela n'a pas encore été fait, il est recommandé d'appliquer un traitement régulateur et/ou envisager un deuxième traitement si situation à risque (reliquats azotés importants et peuplement dense).
Fertilisation azotée : Atteindre le stade dernière feuille étalée pour la troisième application.
Fongicide : Pour le moment, la situation est saine mais à surveiller. Envisagez un traitement si dépassement des seuils. 

Epeautre

Stade de développement : Les épeautres les plus précoces ont désormais atteint le stade deuxième noeud (BBCH 32) tandis que pour la majorité des épeautres, le premier noeud est facilement identifiable (BBCH 31).
Fertilisation : Les quelques pluies tombées çà et là ont enfin permis aux plantes de prélever la deuxième fraction (fraction 2/3). Lorsque la fumure est prévue en deux fractions (fraction 2/2), le stade 32 marque le début de la période propice à l'application de la seconde. Les prévisions météo ne prévoyant de pluie que pour mercredi avant une longue période sèche, il serait donc judicieux de l'appliquer sans tarder. Pour la troisième fraction (fraction 3/3), il est encore trop tôt car le stade optimal pour l'application est le stade dernière feuille pointante (BBCH 37).
Raccourcisseur : Application possible des raccourcisseurs. Cette année, le risque demeurant faible, un seul traitement devrait suffire. Pour les fertilisations inférieures à 110 unités d'azote, cette saison, il est sans doute même possible de se passer totalement de raccourcisseur. La raison qui nous pousse à ne pas le préconiser est le manque d'information sur les effets bénéfiques des raccourcisseurs sur les phénomènes de bris d'épis. Nous travaillons à combler ce manque de connaissance par des essais spécifiques.
Maladies, nécroses et taches en tout genre : Avec l'assimilation de l'eau et des fertilisants, les plantes reverdissent et de nouvelles feuilles viennent rapidement occulter les quelques nécroses apparues il y a une dizaine de jours. Sur la variété Cosmos, la rouille jaune a fait son apparition. La maladie est à surveiller car la variété est connue pour sa sensibilité. En fonction de la luminosité (les rayons UV) que nous connaîtrons durant la prochaine décade, la maladie se développera ou non car les spores de rouille jaune sont particulièrement photosensibles (les journées ensoleillées les détruisent). Seuls les champs dans lesquels des foyers actifs se développent justifient un traitement au stade BBCH 32. Pour les autres situations, ainsi que pour toutes les autres variétés, on s'oriente vers une année saine où le traitement unique au stade dernière feuille étalée (BBCH 39) devrait être la norme. Ce traitement protègera les plantes contre la rouille brune qui est la seule maladie courante qui présente un risque cette année car elle s'accommode des conditions chaudes et sèches prévues pour les prochaines semaines.
Coin « culture » : pas d'article pour cette semaine, repos pascal

La culture de colza d'hiver poursuit sa floraison sous un ciel variable alternant les éclaircies et les passages nuageux avec des averses localisées.  Les siliques sont en cours de formation.

Côté insectes ravageurs, peu de changement par rapport à la semaine précédente avec une faible présence de méligèthes aussi bien dans les pièges que sur les plantes.  Cet insecte ne représente plus aucun danger pendant la floraison généralisée du colza d'hiver.  Les premiers insectes auxiliaires, Tersilochus, ont été observés dans les fleurs de colza, ce lundi de Pâques et parasiteront les larves de méligèthes.  Le charançon des siliques a également été observé à des niveaux inférieurs au seuil d'intervention d'1 charançon pour 2 plantes (20 charançons pour 40 plantes).  Il faut continuer à le surveiller pendant la formation des siliques, tout au long de la floraison.  Les jeunes siliques de 2 à 4 cm sont celles qui intéressent le charançon des siliques.

Côté insectes pollinisateurs, les abeilles et autres pollinisateurs profitent des éclaircies pour le butinage des fleurs de colza d'hiver.  Les ruches déposées par les apiculteurs en bordure de champ de colza en fleurs, sont un signe de bonne synergie avec les agriculteurs, renouvelée chaque année.

Abeille qui butine les fleurs de colza et occupée ici à récolter le nectar (Photo CC 21/04/25)

Christine Cartrysse, CePiCOP

Les escourgeons ont atteint le stade de la dernière feuille pointante (BBCH 37) ou déployée (BBCH 39) dans les parcelles du réseau d'observation du CePiCOP. Sur le terrain, les premières barbes et épis commencent à apparaître dans les champs les plus précoces.

Des pustules de rouille naine sont visibles sur les dernières feuilles (F3 et F4 définitives) dans toutes les parcelles. Toutefois, la pression varie selon les sites et la sensibilité des variétés, mais elle reste globalement très faible cette année (maximum 3% de surface touchée de la feuille en question).

L'oïdium est également présent dans les parcelles (et plus particulièrement visible cette année), mais il n'affecte pas les feuilles au-delà des F3 ou F4 définitives. L'helminthosporiose et la rhynchosporiose restent discrètes cette année.

Les maladies principales en escourgeon :

Le traitement « dernière feuille déployée » (BBCH 39) peut être envisagé dans les prochains jours en vérifiant bien que toutes vos feuilles sont bien déployées.

Il consiste en l'application de plusieurs molécules issues de familles chimiques différentes (mélange de produits commerciaux ou de molécules co-formulées dans un unique produit) :

  • Un triazole (prothioconazole, mefentrifluconazole, tebuconazole ou metconazole), pour contenir la rouille naine (et la rhynchosporiose).
  • Un SDHI (bixafen, fluopyram, fluxapyroxad ou benzovindiflupyr), recommandé pour sa rémanence d'action, renforçant la protection sur la durée.
  • Une strobilurine (pyraclostrobine, azoxystrobine, fluoxastrobine ou trifloxystrobine), utile en complément pour renforcer la lutte contre la rouille naine et l'helminthosporiose.

Nos essais ont également montré l'intérêt d'intégrer des substances à mode d'action multisites, telles que le soufre ou le folpet, notamment dans la gestion de la ramulariose.

Enfin, en cas de forte pression d'oïdium sur votre parcelle, privilégiez l'usage de molécules spécifiques telles que le cyflufenamide, metrafenone, spiroxamine ou pyriofenone, reconnues pour leur efficacité ciblée sur cet agent.

Les produits agréés sont disponibles sur Phytoweb (ou dans les pages jaunes du Livre Blanc Céréales ou reprises sur le site : https://centrespilotes.be/cp/cepicop/cereales/produits-autorises/ )

Groupe « maladies » A. Nysten

Pour rappel, la dernière fraction de fertilisation azotée pour les escourgeons doit être appliquée au stade dernière feuille étalée (BBCH39), de préférence sous forme solide afin d'éviter les brûlures sur les dernières feuilles. Certaines parcelles atteignent désormais ce stade. Dans les autres conditions, il faudra encore attendre quelques jours afin que les plantes puissent déployer leur dernière feuille. Dans le cas d'un schéma de fertilisation en trois fractions, le conseil « Livre Blanc » est d'appliquer, en tenant compte des facteurs correctifs pour votre parcelle, 50 kg N/ha pour les variétés lignées et 75 kg N/ha pour les variétés hybrides. Pour rappel, les schémas de fertilisation conseillés dans le Livre Blanc 2025 sont développés à la p.81 et sont disponibles en ligne : https://livre-blanc-cereales.be/wp-content/uploads/2025/04/II.2.-Fertilisation-azotee.pdf

Concernant les régulateurs de croissance en escourgeon, les produits à base d'éthéphon (SL : 480 g/L éthéphon) appliqués au stade dernière feuille étalée (BBCH 39) à la dose maximale de 1,25 L/ha sont largement suffisants. Le TERPAL (SL : 305 g/L chlorure de mépiquat + 155 g/L éthéphon), applicable du stade dernière feuille au stade premières barbes visibles (BBCH 39-49), à une dose maximale de 3 L/ha, constitue une autre possibilité. Si nécessaire, le régulateur pourra être mélangé avec le fongicide appliqué à ce stade. Il est important de bien respecter les stades et de ne pas appliquer trop tard le régulateur afin de ne pas impacter le développement des épis.

Pour assurer à la fois une bonne efficacité et une parfaite sélectivité d'un traitement régulateur de croissance, les conditions climatiques doivent être favorables à la croissance de la culture, tant au moment du traitement que dans les jours qui suivent. La température doit se situer entre 12°C et 20°C, et l'hygrométrie de l'air être supérieure à 50-60 %. Il faut éviter de traiter pendant les coups de chaleur. L'efficacité du traitement diminue en condition de déficit hydrique au moment du traitement.

Plus d'informations sur les conditions d'application p.87 : https://livre-blanc-cereales.be/wp-content/uploads/2025/04/II.3.-Verse.pdf

G. Wain

Les observations réalisées ce vendredi 18 avril, montrent que la majorité des parcelles de froment du réseau sont actuellement au stade 1er nœud (BBCH 31, 20/26 parcelles), certaines ayant déjà atteint le stade 2e nœud (BBCH 32).

Le contraste avec la saison passée est frappant : à l'approche du stade 2e nœud (BBCH 32), la pression des maladies reste faible cette année, en lien avec les conditions sèches observées ces dernières semaines.

La septoriose est présente, mais les symptômes sont principalement localisés sur les feuilles des étages inférieurs, sans progression significative pour le moment. Tout indique qu'un premier traitement fongicide ne sera pas nécessaire pour cette maladie.

Quelques pustules de rouille jaune ont été observées dans le réseau, mais uniquement sur des variétés sensibles (voir tableau p.139 du Livre Blanc Céréales de février 2025 https://livre-blanc-cereales.be/wp-content/uploads/2025/04/II.4.-Maladies.pdf). Avec la remontée attendue des températures la semaine prochaine, il est conseillé de surveiller les parcelles à risque. En cas de foyers actifs, un traitement fongicide à base de triazole efficace, éventuellement associé à une strobilurine, peut être envisagé.

Des pustules de rouille brune ont également été observées dans certaines parcelles du réseau. La sévérité reste pour l'instant très faible (présence de quelques pustules isolées), mais une surveillance est recommandée, notamment dans les parcelles conduites avec des variétés sensibles à cette maladie.

Les maladies principales en froment :

Tâches foliaires : septoriose, symptômes physiologiques ou autre ?

Plusieurs parcelles présentent des tâches foliaires évoquant la septoriose. Cependant, l'absence de pycnides (points noirs caractéristiques) rend le diagnostic incertain...

Ces symptômes peuvent être liés :

-soit à une attaque d'helminthosporiose, nommée également DTR pour Dreshlera tritici repenti (plus rare chez nous mais possible sur certaines variétés car en provenance de l'Est par le vent),

-soit à des symptômes physiologiques (dus aux fortes amplitudes thermiques et au déficit hydrique des deux derniers mois). Plusieurs signalements ont été réalisés ces deux dernières semaines.

Dans le doute, il est recommandé d'incuber les feuilles présentant des symptômes dans une chambre humide (une bouteille avec un peu d'eau suffit) : la présence de fructifications 24 à 48h après incubation, indiquera une origine fongique. À défaut, il s'agira de symptômes physiologiques, et aucun traitement ne sera nécessaire.

Figure 1 : Photo à gauche, symptômes physiologiques / Photo à droite, l’helminthosporiose du blé avec un point noir au centre de la tâche. Source : ARVALIS

Actuellement, aucun conseil de traitement n'est recommandé dans la majorité des parcelles. Toutefois, les parcelles avec des variétés plus sensibles aux rouilles (jaunes et brunes) sont à surveiller et un traitement pourrait être nécessaire dans ces dernières si des foyers sont actifs.

Conseils pour le choix d'un traitement fongicide :

Pour rappel et afin d'éviter l'apparition trop rapide de résistance au sein des pathogènes, il est conseillé :

  • d'alterner les triazoles utilisés entre les applications ;
  • de n'appliquer une strobilurine qu'une seule fois par saison ;
  • de n'appliquer un QiI (fenpicoxamid) qu'une seule fois par saison ;
  • de n'appliquer un SDHI qu'une seule fois par saison.

Le traitement va reposer sur une solution à base de triazole (prothioconazole, mefentrifluconazole, tebuconazole ou metconazole) et/ou d'un QiI (fenpicoxamid). Si par la suite, vous souhaitez protéger vos épis contre la fusariose, il est conseillé de garder les produits à base de prothioconazole pour plus tard et de se diriger vers d'autres produits, ne contenant pas cette substance active. L'ajout d'une strobilurine est possible si vous observez également une forte pression en rouille jaune ou brune et si votre culture est bien au stade 2e nœud (BBCH 32). Enfin, l'ajout d'un produit multisite, à base de folpet ou de soufre (liquide de préférence) est fortement recommandé. Veillez à garder les produits à base de SDHI pour une application à la dernière feuille ou à l'épiaison afin de profiter pleinement de leur forte efficacité et de leur longue rémanence.

Groupe « maladies » A. Nysten

Les blés durs semés au mois d'octobre ont pour la plupart atteint le stade deuxième nœud (BBCH 32). Certaines variétés d'origine grecque ou française reconnues pour leur précocité approchent même du stade dernière feuille pointante (BBCH 37). Les parcelles emblavées au mois de novembre, moins avancées, sont maintenant au stade premier nœud (BBCH 31).

Comme pour le blé tendre, le stade deuxième nœud (BBCH 32) est un stade important pour la protection de cette culture. A ce stade, il est recommandé d'aller observer ses parcelles afin d'envisager l'application supplémentaire d'un régulateur pour lutter contre la verse et/ou réaliser un premier traitement contre les maladies.

Concernant la lutte contre les maladies fongiques, la pression exercée par celles-ci reste faible pour l'instant, même si des symptômes caractéristiques de certaines maladies du feuillage commencent à apparaitre. Les maladies observées actuellement sur diverses variétés sont l'oïdium, la septoriose, l'helminthosporiose et la rouille jaune. En ce qui concerne le seuil de nuisibilité, nous nous aidons des seuils utilisés par nos collègues français d'Arvalis. Pour enclencher le traitement, l'observation de la feuille F4 définitive est primordial. Au stade deuxième nœud (BBCH 32), la F4 correspond à la F-2 déployée. Le seuil indicatif de risque est : i) pour les variétés sensibles : plus de 20% des feuilles F-2 présentent des symptômes et ii) pour les autres variétés : plus de 50% des feuilles F-2 présentent de symptômes.

Figure 1 - Stades phénologiques des céréales. En Vert, les feuilles ; en gris, les feuilles à venir.

Pour la protection de la culture, la stratégie recommandée en blé dur consiste à réaliser un double traitement, le premier au stade deuxième nœud (BBCH 32) suivi d'un second traitement au stade épiaison (BBCH 55). Cette stratégie consiste principalement à protéger l'épis contre la fusariose, à laquelle le blé dur est assez sensible. Son grain étant surtout utilisé pour l'alimentation humaine, il est par conséquent important de limiter l'infestation de la fusariose des épis (Fusarium graminearum) car elle produit des mycotoxines dans le grain et plus particulièrement le déoxynivalénol (DON).

Même si de la pluie est annoncée par endroit, les prévisions pour les prochains jours ne semblent pas indiquer de changements majeurs concernant la météo. Or le manque de précipitations et l'ensoleillement important limitent le développement de ces maladies. Par conséquent, il est tout à fait envisageable à l'heure actuelle, de postposer son premier traitement à la semaine prochaine. Si les conditions actuelles devaient se maintenir, il serait envisageable de positionner le premier traitement au stade dernière feuille étalée (BBCH 39). Dans ce cas de figure, le traitement relais pourra alors être effectué à la floraison (BBCH 65), si les conditions le justifient.

Par ailleurs, le blé dur est une espèce sensible aux fortes amplitudes thermiques entre le jour et la nuit. Cette sensibilité se marque par l'apparition de taches physiologiques sur le feuillage. Plusieurs variétés présentent actuellement ce type de symptômes. Leur observation nécessite une attention particulière pour ne pas confondre ces taches avec les lésions induites par l'helminthosporiose. Pour rappel, les traitements fongicides n'agiront pas sur ces taches.

Figure 2 - Des taches physiologiques sont actuellement observables sur plusieurs variétés de blé dur

Même si le blé dur reste une culture mineure pour le moment, de nombreux produits de peuvent être utilisés pour protéger cette céréale. Néanmoins, avant d'opter pour un produit, une vérification sur Phytoweb est nécessaire. Vous pouvez également retrouver cette information dans les pages jaunes du Livre Blanc Céréales.  

Si vous souhaitez avoir plus de renseignements, vous pouvez contacter Rodrigo Meza du CRA-W à l'adresse suivante : wr.meza@cra.wallonie.be ou par téléphone au 0471/49.07.27

Rodrigo Meza

Pour plus d'informations, se référer au résumé de la semaine.

Le 3 juillet prochain, le CPL-Végémar organise la 9e édition de la Journée Interprofessionnelle du Bio. Cette édition est organisée en partenariat avec le CRA-W et WalDigiFarm et mettra à l'honneur les nouvelles technologies en agriculture, avec notamment la présence en exclusivité de robots de désherbage !

Cette journée sera l'occasion de vous présenter les dernières avancées en Bio, illustrées via des essais agronomiques, en situation réelle sur une plateforme de 60 ha en agriculture biologique, en grandes cultures et cultures de légumes plein champ (artichaut, herbes aromatiques, carotte, haricot, oignon, pois, pommes de terre et vitrines en orge brassicole et pomme de terre robuste). Des parcours thématiques, démonstrations de désherbage et exposés viendront également enrichir cette journée !

Retrouvez toutes les informations sur https://journeebio.weebly.com/

Le programme est en construction mais vous pouvez déjà bloquer la date!

Si vous souhaitez participer à l'événement en tant qu'exposant, vous trouverez toutes les informations sur https://journeebio.weebly.com/exposants.html  (inscription jusqu'au 30 avril!)


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