L’hiver, d’abord marqué par de fortes pluies battantes, et ensuite par des périodes de froid assez sévère, n’a pas été favorable à la survie des pucerons. Par ailleurs, parmi les pucerons collectés au champ au cours de l’automne, une faible proportion s’était révélée porteuse du virus. Le risque d’extension post-hivernale de la virose est donc très faible.
Jusqu’à présent, les conditions météorologiques n’ont pas permis de mesurer correctement l’éventuelle infestation résiduaire. Ce sera chose faite dès les premiers beaux jours et fera l’objet d’un prochain avertissement.
Coordination scientifique : Groupe « ravageurs », M. De Proft
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