Un élément de plus invitant à penser que la pression de cette année pourrait être faible : Actuellement, on trouve très rarement des pucerons dans les repousses. Une petite trentaine a pu être collectée et sera prochainement analysée pour en mesurer le pouvoir virulifère. Les résultats vous seront communiqués par la suite.
Pour les nouvelles emblavures, une infestation par des vols lointains est toujours possible,… à voir en saison.
Notre surveillance hebdomadaire reprendra dès la levée jusqu’à l’entrée effective de l’hiver.
Coordination scientifique : Groupe « ravageurs », S. Chavalle, G. Jacquemin et M. De Proft
Réalisé grâce au concours et au soutien de nos partenaires
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