Essais prairie
Essais variétaux
Objectifs : Définir les variétés les plus adaptées à nos conditions pédoclimatiques ainsi qu’à chaque type d’exploitation sur base de critères tels que le rendement, la qualité, la résistance aux maladies, …
Dispositif expérimental : Essais en ray-grass anglais, fétuque élevée, luzerne et dactyle en variétés pures ainsi qu’en mélanges.
Essai fertilisation
Objectifs : Evaluer l’importance du rapport K/Mg sur la productivité des prairies de fauche et rechercher des solutions pour améliorer les situations problématiques.
Dispositif expérimental : 16 modalités testées qui consistent au croisement de 4 fertilisations potassiques (0 ; 100 ; 200 ; 400 K2O) avec 4 fertilisations magnésiennes (0 ; 50 ; 100 ; 200 MgO)
Maïs fourrage et grain
Essais variétaux
Objectifs : Définir les variétés les plus adaptées à nos conditions pédoclimatiques ainsi qu’à chaque type d’exploitation sur base de critères tels que le rendement, la qualité, la résistance aux maladies, …
Dispositif expérimental : 85 références variétales testées en régions limoneuses favorables et 44 références variétales au sud du sillon Sambre-et-Meuse.
Résultats des essais variétaux post-inscription maïs fourrage et grain (VARMABEL):
Résultats VARMABEL Base-Ssm 2022
Essai désherbage
Objectifs : Développer des moyens de lutte plus efficaces contre les adventices et plus respectueux pour l’environnement dans un contexte législatif en constante évolution.
Dispositif expérimental : 13 modalités testées (avec ou sans terbuthylazine) + 1 témoin non-traité
Essai fertilisation en agriculture biologique
Objectifs : Déterminer parmi les engrais autorisés par la législation les matières organiques les plus efficaces pour une fertilisation permettant une culture de maïs bio productive et respectueuse de l’environnement.
Dispositif expérimental : 5 modalités fertilisées (digestat, fumier de bovin, fumier de poule, lisier de porc, ORGAVIO®) + 1 témoin non-fertilisé.
Plasticulture en maïs
La plasticulture en maïs consiste à utiliser un film plastique comme paillage. Cette technique est pratiquée en Belgique depuis 1984 déjà et a pour but de recouvrir les rangs semés d’une couverture plastique afin d’hâter et de favoriser la croissance du maïs en réchauffant le sol. Ce système permet également d’économiser partiellement l’eau et de protéger les plantes contre d’éventuelles gelées tardives.
Dans les années 2000, cette méthode a connu un regain d’intérêt grâce à diverses innovations : plastiques plus adaptés et machines permettant une implantation directe (plastisemeuse). L’agriculture est en pleine mutation à l’heure actuelle, les défis environnementaux sont devenus prioritaires et la pression sociétale forte. Afin de faire le point sur les évolutions de cette technique, le Centre Pilote Maïs financé par la Wallonie a mis en place un cycle de trois années d’essais et de suivis en champ.
De 2018 à 2020, pas moins de 15 essais ont été suivis par les partenaires du centre pilote en maïs fourrage et maïs grain, en Ardenne et Haute Ardenne (CPL-VEGEMAR et Centre de Michamps) mais aussi dans les régions plus favorables du Centre du pays (CIPF). La technique de semis sous paillis plastique a été comparée à une implantation classique avec prises de rendements au champ, analyses des valeurs alimentaires et calcul des paramètres économiques.
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